2010/11/23
Vous vous souvenez du sublime dernier chapitre des Frères Karamazov, d’Aliocha parmi les enfants ? Je vous en rappelle six ou sept lignes :
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« Mes enfants, mes chers amis, ne craignez pas la vie ! Elle est belle quand on pratique le bien et le vrai ! – Oui, oui ! répétèrent les enfants enthou siasmés. – Karamazov, nous vous aimons, s’écria l’un d’eux, Kartachov, sans doute. – Nous vous aimons, nous vous aimons ! reprirent-ils en choeur. Beaucoup avaient les larmes aux yeux. – Hourra pour Karamazov ! proclama Kolia. »
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« Mes enfants, mes chers amis, ne craignez pas la vie ! Elle est belle quand on pratique le bien et le vrai ! – Oui, oui ! répétèrent les enfants enthou siasmés. – Karamazov, nous vous aimons, s’écria l’un d’eux, Kartachov, sans doute. – Nous vous aimons, nous vous aimons ! reprirent-ils en choeur. Beaucoup avaient les larmes aux yeux. – Hourra pour Karamazov ! proclama Kolia. »
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Dc_

