Tristan Tzara, en 1949, sur les Poésies de Villon ? "Si forte et insinuante est la valeur persuasive de la poésie de Villon, que souvent il nous semble toucher à un état de conscience mis à nu, tandis que la nudité même de sa voix est empreinte d'une douleur qui dépasse les conditions temporelles où elle se situe."
"I owe much; I have nothing; I give the rest to the poor." Villon
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Oui E crivains
pas vains
les cons~
quoi? tu dits cons?
Tous ces textes sont un constant bonheur de lecture et une séduisante manière de finir l'année avec optimisme, et peut-être avec Adolphe, de Benjamin Constant, en suivant l'avis de Marcel Arland, en 1958 : "Voici une oeuvre écrite en quinze jours, puis de lecture en lecture, traînée pendant neuf ans, une "anecdote", l'aveu d'une faiblesse - et cette centaine de pages ont pris place parmi les chefs-d'oeuvre du roman français. Cela tient de la diablerie, sinon du miracle."