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2008/08/06

La promenade du damné



I can tell you this
One night in Baghdad

makes a hard man humble

spring 2004




here then fnding fast this blog entry from


over the sea as akwas a other walker in the city deterritorializing the ipod listenin to prof.deleuze discuss Leibniz
and yes yes yes crossblogged to radio deleuze wherein professor deleuze fiCtions his aural ghost machines


On the radio we listen between our teeth the cd rea l reeling its electronic optic to desire . as city seethes with its millions brooding he long cane of their desire

"J'ai trouvé un moyen de traverser la Ville Nouvelle sans passer par la route. Des chemins, des sentiers, des pistes cyclables ou piétonnes. On a construit ces villes, dans les années 1970, avec pour objectifs de faire coexister nature et urbanité, classes sociales travailleuse et classes sociales promeneuses, voitures et familles pédestres, développement du bâtiment et protection de l'environnement.

Pendant que je prenais les chemins, au hasard de ma route, j'écoutais Gilles Deleuze, dans mon i-pod, qui faisait cours sur Leibniz. Il parlait de la damnation, telle qu'elle est abordée dans Confessio Philosophi, et le grand professeur amuse son public. Cours magistral, c’est le cas de le dire, qui peut s’écouter sur un CD, disponible chez votre disquaire favori.

Je trouve intéressantes les lignes d'horizon, comment les maisons (basses, pour le coup, très basses, nous sommes à mille lieux des tours que j'appelle de mes voeux, mais enfin, là, cela a été pensé ainsi, il faut respecter le travail des urbanistes et les laisser faire jusqu'au bout, de temps en temps), comment les maisons se détachent sur le ciel, cernées d'arbres, ou engoncées dans les massifs. j'ai mis longtemps, mais aujourd'hui, j'aime assez les volumes que la ville, bouffée par la campagne, à moins que ce ne soit l'inverse, propose au promeneur."





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fromLa précarité du sage